QUI SUIS-JE ?

À partir de l’âge de 4 ans, j’ai commencé à faire des « p’tits » voyages avec mon âme en dehors de mon corps.

En tant que fille de coach, j’ai passé mon adolescence à dévorer les livres de développement personnel qui peuplaient la bibliothèque de ma mère. Baignant dans cette sphère, j’ai pu suivre des ateliers et rencontrer des personnes qui m’ont inspirée, comme Jacques Salomé (qui invite à écouter les besoins de chacun dans les différents types de relations) ou le psychosociologue Jean Epstein (qui invite à mettre en relation les générations sur un plan sociétal large).

Vers l’âge de 17 ans, Clairaudience s’est invitée dans ma vie, et je n’ai pas su quoi en faire. Je voulais avoir une vie « normale », mais j’avais des difficultés à me concentrer sur ce que me disaient les gens. Autour de 20 ans, j’ai compris au décès de mon grand-père que j’avais des aptitudes particulières : je le sentais déjà « monter » avant qu’il ne décède.

Vers 30 ans, deux voyages vont alors transformer ma vie en me révélant des parties de moi. À mon retour du Pérou – après la découverte d’un temple à Cuzco et de la montagne qui jouxte cette ville face au Machu Pichu -, j’ai découvert ce que je pouvais apporter par mon écoute bienveillante envers celles et ceux que je rencontrais. Puis, à mon retour d’Égypte – après la visite d’un temple au bord du Nil -, mon travail dans le commerce textile n’avait plus de sens pour moi. J’ai alors choisi de prendre soin des autres.

C’est à ce moment que j’ai découvert les constellations, par l’intermédiaire de Christine Bonnemains, constellatrice puis formatrice. Lors de la première séance, j’ai découvert que l’on peut ressentir avec son corps des émotions qui ne nous appartiennent pas, comme une forme d’empathie pour quelqu’un qu’on ne connait pas et qui n’est pas là. Je pouvais pleinement utiliser mes compétences et perceptions pour les autres ! Au fil des constellations, j’ai pris conscience que notre âme nous amène vers notre chemin, qu’on peut aimer qui on est, s’accepter et imaginer que nos rêves sont réalisables.

Avec Christine, j’ai commencé mon parcours de formation en 2006, en kinésiologie, en reiki puis en tant que constellatrice. Pour préparer mon diplôme, j’ai cumulé 500h de constellation, en tant que constellée ou participante, en individuel ou en groupe. Installée en tant que thérapeute depuis 2012, je propose des constellations depuis 2014, en développant ma propre approche.

Dans le même temps, bloquée du dos, malgré de nombreux soins, j’ai rencontré Patrick Rebeix, magnétiseur à Brec’h (Morbihan) aujourd’hui à la retraite. Alors que je ne croyais pas au magnétisme, j’ai été époustouflée du résultat. Quand il m’a proposé de me former, j’ai accepté : il m’a permis de révéler l’un de mes potentiels, et je suis devenue magnétiseuse grâce à lui.

Par l’intermédiaire de Patrick Rebeix, j’ai rencontré Béatrice Lechartier, formatrice en Fleurs de Bach pour le laboratoire Déva et créatrice du Jardin Kalongsweg (selon l’arbre de Séphiroth) en Brocéliande. J’ai ainsi pu me former aux Fleurs de Bach et vivre la connexion aux fleurs, directement devant les fleurs, ou par l’intermédiaire des Fleurs de Bach et, plus tard, des huiles essentielles. Cette connexion à la plante prendra tout son sens quand je découvrirai, un peu plus tard, le soin des fleurs que je pratique aujourd’hui.

Puis la rencontre avec Marie-Laure Munoz (cf. ses stages du Cercle sacré, notamment, où j’ai pu percevoir énergétiquement la Terre, le règne animal, et l’ancrage corporel) m’a permis de réaliser différemment les constellations.

Mon parcours m’a aussi menée à l’astrologie humaniste, que j’ai pu apprendre avec Alexandra Courtois et perfectionner avec Marie-Claire Lemée.

D’autres rencontres encore m’ont permis d’apprendre des soins que je pratique désormais : le soin essénien et la géométrie sacrée (grâce à Claire Le Cornec, à Auray en Bretagne), la chromothérapie (avec Marjorie Pillon-Delabarre, près de Caen en Normandie), les cartes énergétiques (avec l’oracle de Clair de Plume)…

En 2018, au décès de mon père, ma médiumnité est devenue plus importante, tout comme la connexion avec les anges, si forte que j’ai souhaité la partager. J’ai alors commencé à interroger les consultants au sujet de leurs croyances, pour savoir si c’était ok pour eux de ressentir ce que pouvaient leur apporter les Anges. En proposant des constellations angéliques, j’ai été bluffée de l’efficacité de cette connexion : les personnes étaient plus en paix par rapport à une situation et trouvaient leurs propres solutions, comme au cœur du « comment être soi-m’aime ».

Lors d’ateliers, j’ai constaté que les personnes formées à la Communication Non Violente (CNV) avaient concrètement évolué dans leur façon de communiquer. Je me suis donc formée auprès de Paul Georges Crismer, formateur certifié en CNV. Les 3 modules de CNV m’ont permis d’avoir les bases pour comprendre comment écouter davantage, comment dialoguer de façon plus authentique. J’ai naturellement introduit ce mode de communication au sein des constellations. Malgré cela, je me suis aperçue que je ne parvenais pas encore à rester totalement neutre.

C’est alors que j’ai découvert les pratiques narratives : une méthode qui me permet de prendre plus en considération vos propres mots et votre point de vue, afin de comprendre votre chemin et, ainsi, pouvoir rassembler chaque partie de vous, chacune de vos valeurs, chacune de vos envies. Avec cette pratique, vous avez la possibilité de choisir et non de subir votre vie, en vous positionnant et en identifiant à quoi vous voulez dire « oui ».